جمعية نشاطات مركز إيواء الشباب                                       

                                      الدكتور عبد القادر الحساني

 

 

                                                         

                                                        

Bienvenue Sur Le Site de l'association des activités d'auberge de jeune DR HASSANI

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'Histoire
En 1840, on décida d'installer un terrain de bivouac pour les légionnaires non loin du Marabout de Sidi-Bel-Abbès.
En 1843, le général Bedeau proposa la construction d'un véritable poste qui prit le surnom de Biscuit ville. 
Le quartier Vient devenu la plaque tournante de la Légion vit passer tous les légionnaires nouvellement engagés, ceux en instance d'affectation et tous les libérables.
Longtemps basée à Sidi Bel Abbés, en Algérie, la Légion Etrangère a participé à toutes les campagnes lointaines de l'armée française, ainsi qu'aux deux guerres mondiales. Après l'indépendance de l'Algérie (1962), le 1er régiment étranger d'infanterie, la " maison mère ", s'est replié de Sidi Bel Abbés à Aubagne (Bouches-du-Rhône), où il est toujours implanté.
Le 25 Septembre 1845, les troupes françaises commandées par le Général Lamoricière ont subi une lourde défaite dans le marabout de Sidi Brahim, des centaines de soldats furent tués par les cavaliers de l'Emir AbdelKader. 

Géographie
La ville se situe au Nord-ouest d'Algérie, elle est limitée au Nord par la wilaya d'Oran au Nord-est par la wilaya de mascara. au Nord-ouest par la wilaya de Ain-Témouchent au sud par la wilaya de Naama
Au Sud-est par la wilaya de Saida Le chef lieu de la wilaya, en tant que carrefour de la région Ouest, est situé à équidistance des chefs lieux des wilayas limitrophes : 70Km de l'aéroport d'Es-Senia 80Km de l'aéroport de Tlemcen.
Et bientôt son propre aéroport(en étude) 80Km du port de Oran et 100km du port industriel d'Arzew.L'organisation administrative de la wilaya de Sidi Bel Abbés est de 52 communes et de 15 daïras.
La superficie totale est de  9150.63 Km² dont :
- 3660.80 Km² (soit 40%) zone steppique
- 2250.37 Km² (soit 24.59%) zone de montagne 
- 3239.44 Km² (soit 34.40%) zone plaine de l'espace de wilaya
 

Le Patrimoine

Un patrimoine historique à sauvegarder

Le peu d’intérêt accordé aux traces anciennes laisse croire à l’inexistence ou presque d’un patrimoine archéologique et historique dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès. Pourtant, à travers cette région, il existe, toutefois, quelques vestiges de valeur historique ou architecturale et dont l’origine remonte à l’ère coloniale datant entre 1846 et 1890. Pourtant, on est tenté de se demander dans quelle situation se trouvent les rares vestiges historiques ou archéologiques que recèle la région. Le constat établi par les services concernés fait ressortir la gravité des actes de vandalisme et de dégradation qu’avaient subi ces différentes structures anciennes qui pourraient être répertoriées comme un patrimoine à protéger et des sites à visiter. Ces sites archéologiques ou historiques ont été soit laissés à l’abandon et se trouvent en mauvais état, soit transformés pour d’autres usages, déplore-t-on. Au niveau de la wilaya de Sidi Bel-Abbès, on inventorie neuf châtelets dont deux en état de dégradation et l’un d’eux, actuellement occupé par la direction des douanes, servit de résidence à Napoléon III. Le reste de ces châtelets se trouvent soit en mauvais état, soit occupés par des organismes ou autres. 

 Il existe aussi deux anciennes mosquées, datant de plus d’un siècle, toujours en activité et qui nécessitent également une prise en charge pour les sauvegarder. D’autre part, la wilaya de Sidi Bel-Abbès compte cinq églises dont trois d’entre elles ont été transformées en mosquées. Les deux autres églises, l’une à Aïn El-Berd / est sert de logis à des familles et la seconde est en état d’abandon, lit-on dans un rapport élaboré par l’inspection de l’environnement, dans le cadre du débat sur le patrimoine archéologique. D’autre part, il existe deux écoles datant du 19ème siècle, à l’image d’El Médersa dans la cité Mekerra et celle de l’école située dans la commune de Bélarbi qui date de 1890 et qui est actuellement occupée par un organisme de sécurité. Selon certaines informations, beaucoup de ces anciennes structures, notamment les châtelets, étaient de conception et de construction telles qu’ils pourraient servir aujourd’hui pour le tourisme. 

 Malheureusement, ce «petit» patrimoine demeura à l’abandon, en l’absence d’une véritable prise en charge mais aussi de culture de la sauvegarde et de la revalorisation de ce genre de patrimoine. 

 A signaler aussi que la région compte des sites naturels à l’image de quelques grottes dont une située dans la région de Boukhanéfis mais inexploitée et deux autres grottes à El- Hasaïba dans la daïra de Moulay Slissen, avec l’existence d’une source dite d’Aïn Left. Des cavernes méconnues du grand public et qui demeurent, jusqu’à l’heure, non classées.

 

 

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